Depuis plusieurs mois, nous intervenons dans un projet de rénovation énergétique pour l’une des plus grandes universités de l’est de la France. Un projet porté en responsabilité sociétale et environnementale, qui a nécessité d’adapter nos procédés d’installation en recyclant notamment une grande partie des équipements existants.

Les bâtiments, responsables de 25% des émissions de gaz à effet de serre

La rénovation des universités françaises est un enjeu important. C’est d’ailleurs pour cela, qu’en décembre 2020 et dans le cadre du programme France Relance, le gouvernement avait annoncé la sélection de plus de 4 000 projets pour 2,7 milliards d’euros en faveur de la rénovation énergétique des bâtiments de l’État, de l’enseignement supérieur, de la recherche et de la vie étudiante. 

Depuis plusieurs mois, nous participons à un vaste projet de rénovation : celle des laboratoires d’une université de l’est de la France. Réparti sur plusieurs centaines de bâtiments, le patrimoine universitaire de 700 000 m2 avait été construit, pour une grande partie, avant l’apparition des premières réglementations énergétiques. Aujourd’hui, en France, le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) estime que les bâtiments sont responsables de 25% des émissions de gaz à effet de serre : la réhabilitation énergétique du patrimoine devient alors un défi important à relever en matière de responsabilité sociétale et environnementale.

C’est pourquoi, cette rénovation s’inscrit notamment dans une logique de recyclage qui a nécessité l’adaptation de nos procédés d’installation. 

Limiter l’impact environnemental dès l’installation

C’est après avoir identifié la performance de nos équipements dans d’autres infrastructures que cet établissement public a fait appel à Irian Technologies, pour rénover leurs laboratoires. Un projet à jalons : la rénovation des laboratoires se fait en plusieurs étapes, une première récemment achevée concernait une demi-douzaine de structures, tandis que la deuxième, en compte le double, avec pour spécialité cette fois, les nanobiotechnologies. 

Parce qu’il en va de la RSE de l’établissement, cette rénovation a pour particularité, le recyclage des matériaux. En effet, la mise en service prévoit de conserver au maximum les équipements matériels existants, en changeant seulement l’intelligence globale et les éléments électroniques – ce qui permet de limiter immédiatement les émissions de gaz à effet de serre. 

Dans cette dynamique et ce même schéma, de nouveaux projets se profilent déjà : la remise à niveau de 15 autres laboratoires. Il s’agit là aussi de désinstaller les équipements obsolètes et d’y installer notre solution Irian Lab, en minimisant les coûts et l’impact environnemental.